M. Amharref a eu l’idée de fonder cette Association en discutant avec les responsables du parc de Tazekka avec qui il a une relation comme membre de la cellule éducative. On voulait fonder une association du douar d’Ain Bechar pour élaborer et réaliser des projets pour les autochtones afin que ceux-ci aient un revenu, et pour que le patrimoine naturel soit protégé, surtout la forêt, menacée par une trop grande utilisation du bois pour chauffer les maisons par temps très froid, et par les élevages, surtout de caprins (chèvres), qui en exigent aussi beaucoup. Il fallait donc protéger la forêt et sensibiliser les gens au problème en mettant sur pied divers projets et activités. Comme le stipulent son nom et l’article 4 de ses statuts, l’Association Ain Bechar pour l’environnement et le développement rural s’intéresse aux dimensions essentielles d’une communauté: la dimension économique, sociale, culturelle et environnementale, ainsi que la coopération avec d’autres communautés, tant régionales que nationales et internationales. Elle compte quelque 80 adhérents.